"En découvrant les installations tournantes de Charlie Jouan, il semblerait que l’on passe une porte qui mènerait à un nouvel univers fait d’immeubles-cabanes, de voiliers arachnéens, de marres d’eau pendues dans des sacs plastiques ou d’habitations troglodytes gravées dans la pierre. Ses architectures précaires, souvent en hauteur ou sur pilotis, n’ont pas la certitude des productions modernes, convaincues de perdurer au sein d’un futur riant. Au contraire, on les sent modestes, incertaines vis-à-vis d’un avenir fragilisé par des bouleversements imminents,…